Investir dans l’avenir.
Investissons ensemble dans le capital humain de centaines de jeunes!
Une vue d’ensemble
Saviez-vous qu’en 2014 dans le quartier de Saint-Henri,
51% des élèves décrochaient,
50% étaient issus de familles monoparentales et
44% vivaient sous le seuil de la pauvreté?

Pour bâtir, il faut des fondations solides. ABaCode unifie les différents volets de la vie et cimente les bonnes habitudes.
CAMP ESTIVAL
Entretenir les bonnes habitutes.
Saviez-vous qu’en moyenne, une habitude prend 10 semaines à se créer? Dix semaines, c’est aussi la durée des vacances d’été.
Aidez-nous à récolter les 362$ manquants afin de compléter le financement des équipes estivales.
Le problème
L’absence
d’encadrement
durant l’été
En l’absence d’encadrement, les jeunes rechercheront sentiment d’appartenance et valorisation de sources alternatives. Dans nos milieux d’opérations, la plus fréquente c’est la bande de jeunes cimentés par des délits mineurs; parfois, c’est le gang de rue ou même le djihadisme.
D’octobre à avril, ces besoins sont comblés par le basket. Le seul hic, la saison de basket se termine en avril — de là l’importance d’équipes estivales.
Notre solution
Des équipes estivales accessibles, sérieuses et organisés
De la mi-avril jusqu’à la fin juillet, nos jeunes continuent de se développer au rythme de 6 heures par semaine et participent au moins à quatre matchs de tournoi. On parle ici de plus de 4 000 heures de formation estivale pour une cinquantaine de jeunes.
D’autres camps existent, mais ABaCode offre de loin le meilleur rapport qualité-prix. Pour nos plus jeunes (U13), on parle de 50$ par jeune, pour nos ados (U15) c’est 100$ et pour nos séniors c’est 150$ par jeune.
Le futur
Douze autres équipes dans trois autres emplacements
Aidez-nous à offrir notre programme à plus de 200 jeunes dans trois autres emplacements.
Heureusement, nous pensons pouvoir bénéficier de certaines économies d’échelle (même à petite échelle) et nous serons capable de nous autofinancer.
Pour se rendre là, nous avons besoin de votre aide afin de financer notre fonds de roulement (jersey & équipements: 38$ par jeune).
Le budget
Dépenses budgétés
Sources de fonds
PROGRAMME PARASCOLAIRE
Intéresser, intégrer et développer.
Saviez-vous qu’en 2015 à Saint-Henri les coupes budgétaires des activités parascolaires (105 499$) empêche l’école de payer son propre programme de basketball? On parle ici d’une école où 51% des élèves décroche, 50% proviennent de familles monoparentales, et 44% vivent sous le seuil de la pauvreté. Nous pouvons les réengager dans leur éducation, mais nous avons besoin de vous. Encore 3 831$ à récolter avant de pouvoir s'occuper des cinq formations de l'école secondaire de Saint-Henri pour l'année 2016-17.
Le problème
Des conditions socioéconomiques difficiles qui occupent l’esprit
Un désengagement total existe dans les classes d’élèves à-risque. Réussir à compléter le plan de cours d’une seule classe est un accomplissement rare; prescrire des devoirs est un exercice futile qui accentue le désengagement des étudiants présents.
Notre solution
La gestion du programme parascolaire grâce au support incroyable de Charles Clément.
Le basketball, c’est une source de motivation et de fierté, une famille reconstituée, des défis qui peuvent être surmontés et trop souvent, le dernier pont avec la scolarité. À Saint-Henri, nos jeunes réclament des devoirs à leurs professeurs; sans quoi « coach ne nous laissera pas jouer ». En collaborant avec les enseignants, nous croyons qu’il est possible de changer le climat des classes à-risque et de donner une chance aux élèves de réussir.
Le budget
Dépenses budgétés
Sources de fonds
Une vue d’ensemble
Saviez-vous qu’en Ouganda
85 % des jeunes ne sont pas inscrits à l’école secondaire,
38 % des familles vivent avec moins de 500$ par année et
20 % des jeunes ne vivent pas avec leurs parents.
Le développement passe par l’organisation. ABaCode unifie les jeunes et leurs communautés afin de surmonter les défis locaux.

ÉQUIPES COMMUNAUTAIRES
Valoriser par le partage
Saviez-vous que les rebelles armés sévissants au nord de l’Ouganda ont entraîné le déplacement de 2.5 millions de personnes ? Nos plus vieux animent des cliniques de basketball dans certaines de ces communautés touchées. Les samedis, ils participent à l’instruction de nos équipes communautaires. Donnons la chance aux jeunes de s'épanouir par le sport. Nous cherchons 2 330$ afin de pouvoir continuer ce programme en 2016-2017.
Le problème
Beaucoup de jeunes, peu d’activités organisées.
À Kampala comme en région, il ne manque jamais de jeunes qui badaudent dans les rues. Comme tous jeunes feraient, ceux-ci s’occupent avec les quelques ressources disponibles. En soi, ce n’est pas mauvais, mais nous pouvons faire mieux.
Notre solution
L’organisation d’activités communautaires
Ayant eux-même reçu la piqure du basket, les jeunes participants de nos équipes parascolaires sont invités à partager leur passion avec la communauté tous les samedis. À plusieurs reprises durant l’année, nous amenons nos plus vieux dans des communautés (encore plus) défavorisés où ils animent des cliniques de basketball. L’expérience est extrêmement valorisante tant pour nos aspirants-entraîneurs que pour les jeunes de la communauté.